Un nouveau directeur à la tête de la Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ)

13 Sep, 2025 | A la Une, Actualités nationales

L’ANATPE salue la nomination de Thomas Lesueur qui a succèdé à Caroline Nisand comme Directeur de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) à compter de l’été 2025.

⚖️ Ce poste lui confie la responsabilité de piloter la direction nationale en charge de la mise en œuvre des politiques éducatives et judiciaires auprès des mineurs, qu’ils soient en danger ou en conflit avec la loi.

Les équipes de la PJJ, pluridisciplinaires — éducateurs, psychologues, assistants sociaux, etc. interviennent auprès des jeunes pour construire des parcours personnalisés, favoriser leur insertion et éclairer les décisions des magistrats.

‍⚖️ Depuis plusieurs années, notre association est signataire d’une convention avec la DPJJ avec pour objectif principal de favoriser l’information et la formation de tous les assesseurs TPE (Tribunaux Pour Enfants) sur le territoire national (métropolitain et ultramarin).

Nous sommes très heureux et très honorés de ce partenariat qui apporte une vraie plus-value aux assesseurs, plus efficaces dans leur mission, et qui marque une reconnaissance de leur rôle dans la justice pénale des mineurs.

L’ANATPE – Association Nationale des Assesseurs des Tribunaux Pour Enfants adresse à Thomas Lesueur tous ses vœux de succès dans cette mission exigeante – au cœur du droit, de l’éducatif et de la protection de l’enfance.

Pour en savoir plus, lire le communiqué de presse du ministère de la Justice :
▶️ https://lnkd.in/e_kBzxVF

Dans ce communiqué, on peut notamment lire que “Gérald Darmanin a fait de la protection de l’enfance la priorité de son action ministérielle en 2026. Dans une lettre adressée aux agents de la protection judiciaire de la jeunesse et datée du 5 août 2025, le ministre d’État, garde des Sceaux, ministre de la Justice, a affirmé sa totale confiance en Thomas LESUEUR pour conduire les missions qui lui ont été assignées : la protection de la jeunesse face à la criminalité organisée, le renforcement de l’éducation et de la réponse à la délinquance juvénile, la refondation de la protection de l’enfance placée sous main de justice (à travers notamment la création du statut de l’enfant victime).”